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22 mars 2010

Stephenie Meyer : Fascination, tome 1.



Stephenie Meyer, Fascination, tome 1.
Hachette Jeunesse, 525 pages.
17.10€

L'auteur : Stephenie Meyer (née Morgan le 24 décembre 1973) est un écrivain américaine. Stephenie a vendu plus de 18 millions de copies de Twilight dans 37 pays, et plus de 8,5 millions de copies uniquement aux États-Unis. Stephenie Meyer a été classée 49ème dans la liste des 100 personnes les plus influentes du Time Magazine en 2008.

4e de couverture : Bella, seize ans, décide de quitter l'Arizona ensoleillé où elle vivait avec sa mère, délurée et amoureuse, pour s'installer chez son père, affectueux mais solitaire.
Elle croit renoncer à tout ce qu'elle aime, certaine qu'elle ne s'habituera jamais ni à la pluie ni à Forks où l'anonymat est interdit. Mais elle rencontre Edward, lycéen de son âge, d'une beauté inquiétante. Quels mystères et quels dangers cache cet être insaisissable, aux humeurs si changeantes ? A la fois attirant et hors d'atteinte, au regard tantôt noir et terrifiant comme l'Enfer, tantôt doré et chaud comme le miel, Edward Cullen n'est pas humain.

Mon avis : 1.5/5

Alors alors.. Par où commencer ? J'ai vu beaucoup de critiques positives sur ce livre. Je sais aussi qu'il y en a sûrement des négatives, comme tout. Sincèrement, je n'ai pas du tout accroché si ce n'est que je me suis totalement ennuyée. Peut-être le fait d'avoir vu le film avant a joué dans ma lecture.. En attendant, très vite, je me suis lassée de ce livre. Pour tout vous dire, je ne l'ai même pas lu jusqu'au bout. Je n'en ai même pas envie. Je n'ai même pas envie de savoir ce qui va arriver par la suite tellement le style de Stephenie Meyer ne me plait absolument pas. Ce livre est destiné aux jeunes adolescentes, sensible à ce genre d'histoire, certes. Ce livre ne m'a pas touché une seule seconde. Les personnages peuvent être à la rigueur intéressants bien qu'ils ne soient centrés que sur Bella et Edward. Enfin, c'est censé être normal, après tout.
En conclusion, je dois faire partie des rares personnes qui n'ont pas aimés cette histoire, pour la première fois, je préfère le film au livre.

Hans Peter Richter : Mon ami Frédéric.



Hans Peter Richter, Mon ami Frédéric.
Hachette Jeunesse, 224 pages.
5€

L'auteur : Ecrivain et psychosociologue allemand né en 1925 à Cologne et mort en 1993 à Mayence.Hans Peter Richter a connu dès son enfance l'entreprise de propagande nazie sur l'opinion allemande, l'accession d'Hitler au pouvoir et sa dictature. Hans Peter Richter devient sociologue et s'occupe d'organisation du travail ; il a écrit plus de trente ouvrages et collabore à des émissions de radio et de télévision sur des sujets scientifiques et scolaires mais aussi sur les chansons françaises et allemandes.

4e de couverture :
Hans et Frédéric sont dans la même école et habitent le même immeuble. Ils sont devenus inséparables. Mais Frédéric est juif et, dans l'Allemagne hitlérienne, mieux vaut ne pas l'être. Rapidement, les vexations se transforment en violences. En 1942, un jour où Frédéric voudra se réfugier à la cave pour échapper aux bombardements, on ne le laissera pas entrer...

Mon avis : 5/5

J'ai adoré ce livre. Je l'ai lu il y a plus de deux ans, mais j'en ai gardé un excellent souvenir. L'histoire paraît si réaliste que je pense que l'auteur y a ajouté quelques vérités, lui-même ayant vécu la guerre. On y découvre les atrocités de cette dite-guerre, je connaissais quelques unes, mais les voir écrites ainsi m'a fait réaliser à quel point cette époque était affreuse. De plus, par le point de vue d'un enfant, c'est encore plus poignant. C'est un livre que je conseille réellement pour la richesse de ses informations et la narration si simple et tellement réaliste.

20 mars 2010

Emmanuel Roblès : Montserrat.



Emmanuel Roblès, Montserrat.
Poche, 160 pages.
3.50€

L'auteur : Emmanuel Robles est né à Oran en Algérie le 4 mai 1914. Son père est décédé avant sa naissance, il a donc grandi entouré de femmes. L'absence du père est une dominante dans son oeuvre. D'une famille ouvrière, il est reçu à l'Ecole Normale d'Alger. Le charme de cette ville le retient et il s'y fixera un peu plus tard. La guerre oblige Emmanuel Robles à cesser ses études et il devient interprète auxiliaire de l'armée, puis officier-interprète jusqu'à ce que le général Bouscat, commandant l'air en Afrique du nord, le nomme correspondant de guerre en 1943. Les premiers jours de mai 1945, et la fin de la guerre avaient trouvé Robles en Allemagne. Il fut démobilisé à Paris avec beaucoup de souvenirs et la cicatrice d'une blessure au bras (en 1943, on l'avait fusillé presque à bout portant au cours d'une chasse à des aviateurs allemands parachutés).
Dès lors, il s'efforce de vivre de sa plume à Paris et collabore à divers quotidiens et hebdomadaires: Le Populaire, Gavroche, Combat, Aviation Française, etc. Repris pas la nostalgie d'Alger, il y retourne en 1947 et fonde une revue littéraire "Forge".

4e de couverture :


Le chef vénézuélien Francisco Miranda est vaincu et capturé par le capitaine général espagnol Monteverde. Simon Bolivar, lieutenant de Miranda, est en fuite. Caché par des patriotes, il a pu, jusqu'ici, échapper aux recherches. Les Espagnols occupent les trois quarts du pays. La répression est terrible. Massacres et pillages se succèdent.

Mon avis : 5/5

J'ai lu ce livre il y a deux ans maintenant, mais je me souviens à peu près de l'histoire, je me rappelle également que je l'avais lu la veille avant de rendre le compte-rendu. J'ai été tellement surprise et choquée par ce livre que la rédaction ne m'a pas pris longtemps, tellement j'étais emportée par l'engouement que m'avait procuré ce livre. Il vaut vraiment le détour. L'histoire est poignante, terrible et magnifiquement mise en scène. La pièce se passe au Venezuela, dans un contexte révolutionnaire, mais l'on pourrait attribuer cette histoire n'importe quand. A lire absolument.

Paul Fournel : Courbatures.



Paul Fournel, Courbatures.
Le Seuil, 152 pages.
13.30€

L'auteur : Né en 1947 à Saint-Étienne, président de l’Oulipo, Paul Fournel a publié de nombreux ouvrages pour la jeunesse, des recueils de nouvelles, des romans, dont Chamboula (2007) et plus récemment, Méli-Vélo, un abécédaire du vélo.

4e de couverture :

Un guitariste de rock se crée de toute pièce une réputation de star sulfureuse ; un champion du monde de boxe aura préféré sa victoire rêvée à la réelle, un chanteur et une comédienne s’inventent une liaison médiatique pour booster leur carrière, une famille participe à l’émission de téléréalité « Revivre à la campagne » : autant de personnages situés entre le vrai et le faux, le rêvé, l’inventé, le fantasmé qui déçoit, le raté qui agace. Paul Fournel offre une galerie de portraits en demi-teinte, souvent sur la brèche, en équilibre entre euphorie et déception, attente et surprise. Après les strass, viennent les bleus, les courbatures. La lumière les éclaire un moment, parfois fugace pour mieux les faire replonger dans une obscurité souvent amère.

Mon avis : 3/5

Des nouvelles toutes plus ou moins sympathiques, mais sans plus. Le thème général de ces nouvelles traite du succès et de l'échec de différents personnages à travers d'histoires intéressantes dans l'ensemble. Le style de l'auteur est simple, le registre familier dans certaines de ses nouvelles, pour se rapprocher encore plus de ces personnages et donner plus de réalisme. Même si je n'aime pas tellement ce procédé, dans le dialogue, pourquoi pas, mais côté narration, je n'accroche pas tellement. Le livre se lit rapidement, ce qui est un point positif car j'ai eu du mal vers la fin, même si la dernière nouvelle intitulée "romans" est de loin la meilleure de toutes les nouvelles; elle met en scène une histoire du point de vue de différents personnages.
Ce livre ne m'a pas scotché et je l'oublierai certainement, ne retenant peut-être qu'une ou deux nouvelles intéressantes ou amusantes. La 2e et la dernière, notamment. J'ai passé un bon moment à lire ces nouvelles, néanmoins.

18 mars 2010

Scott Westerfeld : Midnighters, tome 1 : L'heure secrète


Scott Westerfeld, Midnighters, tome 1 : l'heure secrète
Pocket, 335 pages.
12.80€

L'auteur : Né le 5 mars 1963, au Texas. Adolescent il dévore les livres de science fiction et de fantasy dont Ray Bradbury, même si aujourd'hui il préfère lire des essais scientifiques. Westerfeld décide alors de s'accorder une année sabbatique pour écrire et publie en 1997 son premier roman 'Polymorph'. 'Evolution' s Darling' (2000) est sélectionné New York Times Notable Book et obtient une Special Citation pour le Philp K. Dick Award. Westerfeld poursuit avec des séries pour jeunes adultes dont la trilogie des 'Midnighters' (2004, 2005, 2006), suivi de sa trilogie 'Uglies' (2004, 'Uglies', 2005), élu Best Book for Young Adults 2006 par la American Library Association, 'Pretties' (2005) et 'Specials' (2006). Ses derniers livres 'Extras' et 'Leviathan' sortent en 2007.

4e de couverture :

Il existe une ville, aux Etats-Unis, où le temps s'arrête à minuit.
Plus un être ne bouge, tout semble figé...
S'ouvre alors l'heure secrète.
Le monde appartient aux darklings, des créatures maléfiques qui rodent dans les ténèbres.
Seuls quelques ados, nés à minuit pile, sont capables d'évoluer dans cet espace-temps.
Ils se surnomment entre eux les midnighters.
Tous ont des pouvoirs spéciaux.
Tous, sauf Jessica Day.
Pourtant, les créatures de l'ombre sentent en elle un danger redoutable et sont prêtes à l'éliminer...

Mon avis : 3/5

J'ai lu Uglies et toute sa suite, du même auteur, et j'ai littéralement adoré. Sauf le dernier que je trouvais inutile. Bref. J'ai entendu parler de ce livre et, pensant qu'il serait peut-être aussi génial qu'Uglies, je l'ai acheté peu de temps la lecture d'Uglies.
Déception.
Je n'ai vraiment pas accroché, j'ai mis 4 semaines à le lire car à la fin de chaque chapitre, je n'avais vraiment pas envie de continuer plus loin. L'action est longue, l'idée de départ se voulait pourtant originale, mais rien n'y fait, je ne retrouve pas dans son écriture un style particulier. La fin de ce livre est intéressante mais je ne sais pas encore si je vais le continuer.